comment
| - Kuchenne schody (fr. Pot-Bouille) – dziesiąty tom cyklu Rougon-Macquartowie, opublikowany w 1882, analiza życia codziennego mieszczan z paryskiej klasy średniej w czasach II Cesarstwa.
- Quel che bolle in pentola (1882), noto in Italia anche come La solita minestra, è il decimo volume de I Rougon-Macquart di Émile Zola. Il libro deve il suo titolo (in orig. Pot-Bouille) alla formula popolare che si riferisce ad una cucina poco raffinata, alla pentola nella quale si confondono diversi alimenti, così come nel romanzo, ambientato in un claustrofobico palazzo parigino, si confondono i tanti personaggi grazie ai quali Zola mette in luce vizi e ipocrisie della piccola borghesia.
- Pot-Bouille is the tenth novel in the Rougon-Macquart series by Émile Zola. It was serialized between January and April 1882 in the periodical Le Gaulois before being published in book form by Charpentier in 1883. The novel is an indictment of the mores of the bourgeoisie of the Second French Empire. It is set in a Parisian apartment building, a relatively new housing arrangement at the time and its title (roughly translating as stew pot) reflects the disparate and sometimes unpleasant elements lurking behind the building's new façade.
- Ein feines Haus oder auch Der häusliche Herd (franz. Pot-Bouille) ist ein Roman von Émile Zola und zugleich der zehnte Teil des Rougon-Macquart-Zyklus. Er erschien erstmals in Fortsetzungen von Januar bis April 1882 in der Zeitschrift . 1883 folgte die Buchausgabe bei Charpentier. Der Roman wurde 1883 von als Theaterstück adaptiert und im Théâtre de l’Ambigu-Comique uraufgeführt. Julien Duvivier verfilmte das Werk 1957.
- Pot-Bouille est un roman d’Émile Zola publié en 1882, le dixième de la série Les Rougon-Macquart. Le héros, Octave Mouret, arrive à Paris et s'installe dans un immeuble bourgeois récent. Il recherche une maîtresse qui l'aide à s'élever socialement. Il rencontre peu à peu la plupart des habitants qui, sous les dehors d'une bonne morale, ont des relations hors mariage, entretiennent des maîtresses, concluent des mariages d'argent, se déchirent pour des héritages et abandonnent leurs enfants. C'est à cette « cuisine », aussi peu ragoûtante qu’un médiocre brouet, que fait référence le titre : le mot « pot-bouille » désignait au XIXe siècle, en langage familier, la cuisine ordinaire des ménages, dans un sens proche de l'actuel « popote ». Par l'ironie, Zola montre en effet l’envers du décor d’u
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